Il ne fait nul doute que c'est en Europe Centrale où les gens sont le plus heureux : L'
Autriche affiche un taux de révolte national très bas de 39%. Certes la ville de Vienne a été secouée l'année dernière par un retour de la peste mais les infrastructures sanitaires de la cité ainsi que la compétence du gouverneur de Vienne Charles-Joseph de Lorraine et de l'empereur Charles VI ont pu rapidement enrayer l'épidémie. Une fête va être prochainement organisée en l'honneur de l'empereur dans la capitale autrichienne ainsi qu'à Luxembourg, la capitale des Pays-Bas autrichiens qui connaît un brillant essor économique.
La
Bavière n'est pas en reste puisque le taux de révolte est de 51%. Elisabeth Ière Thérèse a fait des cités de son pays de véritables centres économiques et culturels. Actuellement elle codifie la peine de mort en Bavière afin de satisfaire au mieux la population sur l'impunité de bien des crimes qui ont pu toucher l'électorat récemment.
Le reste des pays européens ont un taux de révolte acceptable situé entre 51 et 66% mais les mauvais élèves sont l'
Espagne (taux de révolte de 69%), qui semble stagner depuis quelques années en raison d'une politique centrée presque uniquement sur l'éducation, la
Savoie-Sardaigne (73%) dont les villes sont trop déséquilibrées selon les secteurs d'activité et enfin les
Provinces-Unies (76%) dont le retard sur les autres pays européens est encore grand.