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Maître-du-jeu
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MessageSujet: Historique   Historique Icon_minitimeSam 14 Mai - 23:32

Les tensions entre d'une part les Etats Pontificaux et les membre de la Ligue - catholique - des Princes de Sang-Mêlé et d'autre part les membres de l'Ordre du renouveau, composé essentiellement des Etats du Nord de l'Italie et rejoint par le Portugal sont à l'origine de ce conflit. En 1776, Charles IV d'Espagne qui avait du un temps laisser le Portugal reprendre son commerce maritime avec le Piémont-Sardaigne durcit le ton lorsque Marie III rejoint l'Ordre du renouveau et ce en réalisant un blocus maritime à Gibraltar, répondant ainsi aux menaces de Gênes qui en avait fait de même entre la Corse et la Sardaigne contre les convois pontificaux si le saint Père continuait à s'évertuer d'exporter des marchandises vers l'Espagne. Charles IV réagissait aussi contre l'annexion de son allié le duché de Modène fait en douceur par Victor-Amédée qui y avait provoqué une révolution de palais.

La reine Marie III de Bragance fit de son époux le roi Victor-Amédée III le Grand-Maître de l'Ordre de Malte, charge qu'accepta le roi de Piémont-Sardaigne contre l'avis du pape Calixte IV. Le Pape, déjà furieux contre le chantage génois proclama une bulle d'ostracisation à l'encontre de Victor-Amédée III qui conduisit à de vives réactions dont celle de Grégoire Ier de Venise qui n'hésita pas à lancer un ultimatum au souverain pontife, l'invitant à retirer sa bulle sous peine d'entrer en conflit avec lui.
Calixte IV n'ayant pas répondu dans les délais, Grégoire Ier de Venise déclara la guerre aux Etats Pontificaux en septembre 1776, suivi de son fils Ludovic II de Milan et tous deux entrèrent dans Ravenne et assiègerent Bologne tandis que la flotte vénitienne bombarda Ancône. Ferdinand Ier de France profita de cette opportunité pour descendre du Dauphiné jusque dans le Comtat Venaissin (terre pontificale) et assiéger Avignon sans déclaration de guerre.
Pendant ce temps le roi d'Espagne lanca une attaque surprise sur le Portugal, à la fois terrestre et navale.


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MessageSujet: Bataille de Bragance (novembre 1776)   Historique Icon_minitimeSam 14 Mai - 23:53

Historique 640px-Battle_of_Blenheim

Bélligérants (unités engagées / unités perdues / unités restantes) :
Espagnols : 11.493 (1 armée) / 2.129 / 9.364
Portugais : 4.617 (1 brigade) / 3.255 / 1.362
Issue : Victoire espagnole

Charles IV décide d'envahir le Portugal à l'automne 1776. Pour être sûr de remporter la victoire il n'a que faire du prestige et envoie sa 3ème Armée composée de 11.500 hommes contre la 1ère brigade portugaise qui n'en compte que 4.600. Le Lieutenant-Général espagnol Cajigal de la Vega remporte une victoire aisée mais les Portugais, emmenés par de Figueireido, sachant que l'issue de la bataille allait faire peu de place au doute, se concentrèrent sur l'artillerie ennemie et au prix de nombreuses pertes parmi leurs cavaliers, détruisirent la moitié des canons espagnols. Vaincu, Figueireido sonna la retraite vers la ville de Chaves avec à peine plus de 1.300 hommes.


Dernière édition par Maître-du-jeu le Mar 7 Juin - 9:23, édité 3 fois
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MessageSujet: Prise de Avignon (novembre 1776)   Historique Icon_minitimeDim 15 Mai - 0:07

Historique Image001

Bélligérants (unités engagées / unités perdues / unités restantes) :
Français : 11.493 (1 brigade) / 2.129 / 9.364
Pontificaux : 3.294 (1 régiment) / 2.907 / 387 (prisonniers)
Issue : Victoire française

Ferdinand Ier de France joue la carte de l'opportunisme lorsque Venise et Milan déclarent la guerre au pape Calixte IV. Il ordonne à la 2ème brigade de foncer faire le siège de Avignon située alors dans le Comtat Venaissin, en plein territoire pontifical. A l'instar de son voisin Charles IV, le roi de France ne prend pas de risque et confie sa plus grande armée à son plus grand commandant le Maréchal de Saxe et avec pas moins de 7.549 hommes il assiège la cité des papes d'une garnison d'à peine 5.500 hommes. Toutefois le vieux Maurice de Saxe qui venait de fêter ses quatre vingts ans en campagne à Carpentras ne décide de mobiliser réellement que onze bataillons durant l'assaut, utilisant ainsi mortiers, cavalerie lourde et de tir ainsi que troupes d'assaut (infanterie de ligne et mercenaires écossais). La défense pontificale du Lieutenant-Général Michelangelo Angello est héroïque et il fait perdre à l'ennemi les deux tiers de ce qu'il en avait perdu. Mais n'ayant plus que 387 soldats à sa disposition alors qu'il venait pourtant d'empêcher les français d'entrer dans la ville et en connaissant les réserves du Maréchal de Saxe, il savait que toute résistance était vaine. Aussi il décide de livrer la ville aux français contre la promesse qu'aucun pillage ne serait fait.


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MessageSujet: Bataille navale de Oporto (décembre 1776)   Historique Icon_minitimeDim 15 Mai - 2:08

Historique Defensa_de_Cartagena_de_Indias_por_la_escuadra_de_D._Blas_de_Lezo,_a%C3%B1o_1741

Bélligérants (unités engagées / unités perdues / unités restantes) :
Espagnols : 30 (1 vaisseau + 11 frégates + 10 bricks + 8 corvettes) / 5 / 25
Portugais : 10 (1 vaisseau + 1 frégate + 7 bricks + 1 carronade) / 8 / 2 (2 capturées)
Issue : Victoire espagnole

La flotte espagnole du Grand Amiral Pedro Mesía de la Cerda a attaqué la division portugaise du Chef d'escadre Martinho de Melo e Castro dans le port de Oporto. Malgré un effet de surprise certain, l'immense armada espagnole ne pouvait déployer tous ses navires contre l'ennemi, aussi de la Cerda préféra laisser les corvettes en retrait pour tenter d'intercepter toute manoeuvre de fuite de la part des portugais.
de Melo e Castro était donc contraint à un combat à mort avec possibilité de se faire capturer des navires, ce qui était cette fois à l'avantage des espagnols. Mais de la Cerda partit en tête à l'attaque avec son vaisseau amiral le Carlos III protégé par des bricks mais il fut tué pendant la bataille et son navire coulé dans la rade. Cela ne perturba pas pour autant les espagnols car ce coup d'éclat ne suffit pas à la marine lusitanienne qui fut anéantie. Seule la carronnade réussit l'exploit de détruire deux bricks à elle toute seule avant d'être prise à l'abordage tandis que le commandant portugais se rendit et livra son vaisseau amiral aux espagnols.


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MessageSujet: Bataille de Bologne (décembre 1776)   Historique Icon_minitimeDim 15 Mai - 14:36

Historique Sevenyrs

Bélligérants (unités engagées / unités perdues / unités restantes) :
Vénitiens : 6.930 (1 brigade + 1 régiment) / 3.768 / 3.162
Pontificaux : 6.624 (1 brigade) / 5.475 / 1.149 (prisonniers)
Issue : Victoire vénitienne

Le grand-duc de Venise Grégoire Ier, à la tête de sa 1ère brigade « di Königsmark » attaqua la garnison pontificale de Bologne de concert avec le 2ème régiment « Padovana » du colonel-général serbe Nikac de Rovine. Les gardes suisses du pape opposèrent une résistance acharnée mais vaine car les mouvement de troupes de Rovine en eurent raison tandis que Grégoire Ier combattait le gros des troupes. Le Maréchal de camp pontifical Emmanuele Orsini fut contraint à la reddition et la ville fut livrée aux vénitiens.


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MessageSujet: Prise de Lyon (janvier 1777)   Historique Icon_minitimeLun 16 Mai - 13:47

Historique 550x336x131399-004-99C6F44A.jpg.pagespeed.ic.0dj6nrG7R8

Bélligérants (unités engagées / unités perdues / unités restantes) :
Bavarois : 7.272 (1 brigade) / 2.125 / 5.147
Français : 3.195 (1 régiment) / 3.117 / 78 (prisonniers)
Issue : Victoire bavaroise

C'est un coup dur pour Ferdinand Ier de France qui perd la ville de Lyon, la deuxième ville de son royaume et centre de sa place financière et boursière. L'Electrice de Bavière qui avait déclaré la guerre à Venise et à Milan a semé le doute en faisant traverser la Suisse sa 2ème brigade « von Maffei » pour finalement lancer une attaque furtive non pas sur le duché de Milan mais sur la France qui était elle aussi entrée en guerre contre le Pape. Son commandant, le Generalleutnant Ignaz von Törring qui s'était déjà illustré lors du siège de Vilno en 1742 pendant la guerre de succession de Pologne a sous une pluie battante attaqué et vaincu la petite garnison de Lyon commandée par le Maréchal de camp Charles de Rohan-Soubise. Cette garnison française était certes bien défendue par de grands remparts et une milice bien formée (tout cela grâce au gouverneur militaire de la ville Augustin-Joseph de Mailly) mais c'était sans compter sur les nombreuses infanteries chevronnées de Ignaz von Törring et de ses talents en assiégeant de cités. von Törring misa davantage sur un assaut simultané de toutes ses troupes et ne fit bombarder les enceintes qu'en début de siège, les fortifications étant bien trop résistantes face à ses boulets de 8 livres. La ville fut vite investie et von Törring se comporta de façon assez cruelle contre les français. Malgré la reddition de Mailly, ses miliciens pénétrèrent dans la citadelle et massacra le reste de la garnison qui avait pourtant jeté les armes. Mailly fut massacré et son corps martyrisé au sol par les soldats bavarois. Seuls soixante dix huit français furent ainsi faits prisonniers, il ne s'agissait non pas de combattants qui s'étaient rendus mais uniquement de soldats blessés dont les jours n'étaient pas en danger, ce qui explique que von Törring avait décidé de massacrer toute la garnison. Il avait toutefois ordonné de faire capturer le commandant français Charles de Rohan-Soubise et non de le tuer. Légèrement blessé, ce dernier fut également retenu comme captif.
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MessageSujet: Prise de Ancône (mars 1777)   Historique Icon_minitimeMar 17 Mai - 10:46

Historique 222E8F3952C3DE0323FC5D

Bélligérants (unités engagées / unités perdues / unités restantes) :
Milanais : 6.822 (1 brigade) / 1.248 / 5.574
Pontificaux : 2.439 (1 régiment) / 1.719 / 720 (prisonniers)
Issue : Victoire milanaise

La progression de l'Ordre du Renouveau continue dans le centre de l'Italie avec la prise au printemps 1777 de la ville côtière pontificale de Ancône qui faisait déjà l'objet d'un bombardement soutenu par la seconde escadre vénitienne. Attaquée par le Général Antoniotto Botta Adorno et sa 1ère brigade « Ludovico Sforza », la petite garnison déjà affaiblie du Général Lorenzo Anunzio ne tint pas bien longtemps face aux assauts milanais et se rendit à l'ennemi.


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MessageSujet: Calixte IV se donne la mort (avril 1777)   Historique Icon_minitimeMar 17 Mai - 23:03

Historique Peter-o-toole-in-una-scena-di-the-tudors-61695

avril 1777 : Alors que la 3ème brigade savoyarde « di Toscana » est aux portes de Rome prête à assiéger Rome, le pape Calixte IV a décidé de mettre fin à ses jours. Le suicide est un pêché mortel comme chacun sait dans la religion catholique romaine mais le souverain pontife s'est rappelé Caius Gracchus pendant la république romaine, assassiné par son esclave sur ses ordres. Il demanda donc à Giovanni Maestri, son interprète et supposé amant d'abréger "les souffrances d'un vicaire du Christ qui a vainement lutté contre une cohorte de démons". Sur son ordre également, son corps a été brûlé et les cendres dispersées dans le Tibre. On ignore encore si un Conclave se tiendra en catimini pour désigner un nouveau pape, tant la situation est intenable pour les Etats Pontificaux et ne le permettant pas.
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MessageSujet: Siège de Rome (avril 1777)   Historique Icon_minitimeMer 18 Mai - 0:43

Historique Battle_of_Turin_Two

Bélligérants (unités engagées / unités perdues / unités restantes) :
Piémonto-Sardes : 5.656 (1 brigade) / 3.310 / 2.346
Pontificaux : 4.005 (1 régiment) / 2.421 / 1.584
Issue : Victoire pontificale

La mort de Calixte IV avait en apparence seulement sapé le moral des troupes pontificales car dans un sursaut d'orgueil, le 5ème régiment « Saint Luc » commandé par le maréchal de camp Giuseppe Claudio Battistini est parvenu à repousser les assauts des Piémont-sardes de la 3ème brigade « di Toscana ». Mais il avait aussi grandement bénéficié de la levée supplémentaire de 5 bataillons de fusiliers fraîchement ajoutés au régiment pour qu'il devienne une brigade. Cependant, le combat fut serré, Battistini joua la carte de l'audace en forçant le siège avec ses nombreux troupes à pied et le résultat ne fut que très mitigé et ce au prix de lourdes pertes. Le Brigadier des armées du roi de Piémont-Sardaigne Filippo Ferrero della Marmora eut donc un temps l'avantage ; ses cuirassiers s'engouffrèrent dans des brèches ouvertes par les nombreux canons piémonto-sardes mais ils furent chaudement repoussés par les fusiliers pontificaux. Devant l'hécatombe que subissait la 3ème brigade « di Toscana », Ferrero della Marmora leva le siège et se retira sur Viterbe non loin de là.
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MessageSujet: Bataille de Plaisance (mai 1777)   Historique Icon_minitimeMer 18 Mai - 20:14

Historique Sala3

Bélligérants (unités engagées / unités perdues / unités restantes) :
Piémonto-Sardes : 16.947 (2 armées) / 9.006 / 7.941
Espagnols : 12.888 (1 armée) / 10.179 / 2.709 (prisonniers)
Issue : Victoire piémonto-sarde

Victor-Amédée III, depuis des années en inimitié avec Charles IV, est enfin entré en guerre contre l'Espagne. Il a lancé en mai une attaque surprise sur le duché de Plaisance protégé par une forteresse et la 4ème ARMEE « GALICIA » composée de 60 bataillons. Pour cette offensive de grande ampleur il a fait appel aux 1ère ARMEE « MAFFEI » et 2ème ARMEE « MONTMIRAIL » qui représentaient alors la moitié de tous ses effectifs en nombre d'hommes. Le pari paraissait risqué mais il s'agissait d'un risque mesuré car le cumul des deux contingents offraient au roi de Piémont-Sardaigne une force de frappe légèrement supérieur que celui de son ennemi, notamment en nombre de canons. Les murs de la forteresse de Plaisance en ont d'ailleurs payé le lourd tribut. Le Maréchal Johann von Lehwaldt était sur le front droite tandis que le Général Jean-Luc Mélanchon de Massy-Verrières, comme à son habitude commandait le front gauche. Ils prirent en tenaille la forteresse par les portes est et ouest. Mais Mélanchon eut bien des difficultés côté est et les pertes furent énormes pour la 1ère ARMEE « MAFFEI », au point où lui même fut grièvement blessé en prenant l'assaut, avant d'être évacué par ses hommes. Aujourd'hui encore ses jours sont en danger. En revanche, le Maréchal d'origine prussienne Johann von Lehwaldt fit des merveilles côté ouest en perdant que peu d'hommes en s'engouffrant à l'intérieur des fortifications. Le commandant espagnol de la garnison de la forteresse, Gregorio Gual y Pueyo tenta vainement de repousser les troupes piémonto-sardes, en vain. La résistance des espagnols, notamment les miquelets fut rude mais leurs pertes dépassèrent les 10.000 hommes. Cerné de toute part et avec une artillerie totalement annihilée et une forteresse quasi détruite, Gual y Pueyo se rendit avec ses 2.700 hommes restants. Il s'agit probablement de la plus grande bataille du siècle car ayant réuni près de 30.000 combattants.


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MessageSujet: Bataille de Grosseto (juin 1777)   Historique Icon_minitimeMer 18 Mai - 23:23

Historique Battle_of_Fontenoy

Bélligérants (unités engagées / unités perdues / unités restantes) :
Génois : 4.446 (1 brigade) / 933 / 3.515
Pontificaux : 2.133 (1 régiment) / 1.494 / 639 (prisonniers)
Issue : Victoire génoise

Les talents de commandants du Maréchal Jean-Charles de Folard n'ont pas suffit aux Pontificaux pour empêcher que Grosseto ne tombe entre les mains de l'assaillant génois. Plus à l'aise dans des villes fortifiées il a du défendre la ville en campagne et faire face à un ennemi deux fois plus nombreux. Face à lui, la 2ème brigade « La Spezia » du Brigadier-général Adriano di Tesoro a eu bien plus de mobilité et le commandant a savamment su protéger son artillerie qui occasionna de forts dégâts aux infanteries pontificales pourtant aguérries. Vaincu, le commandant avignonnais Folard ordonna la reddition de la ville de Grosseto et se constitua lui et son régiment prisonniers.
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MessageSujet: Prise de Rome (juillet 1777)   Historique Icon_minitimeJeu 19 Mai - 13:24

Historique 1a8c7c444ba1681642cb0b97cb2e1075

Bélligérants (unités engagées / unités perdues / unités restantes) :
Vénitiens : 4.896 (1 régiment) / 1.524 / 3.372
Pontificaux : 1.653 (1 régiment) / 1.347 / 306 (prisonniers)
Issue : Victoire vénitienne

Le brigadier-général serbe Nikac de Rovine a réussi à prendre Rome. La victoire fut aisée même si les Pontificaux bombardèrent copieusement les troupes ennemies qui s'approchaient de la capitale. Les vénitiens du 2ème régiment « Padovana » comptèrent l'essentiel de leurs pertes durant cet épisode et non lors de l'assaut qui put très facilement être réalisé grâce à la supériorité numérique des hommes de Nikac de Rovine contre une garnison encore très entamée par le précédent siège piémonto-sarde. La déroute pontificale est totale : Calixte IV est mort et toutes les villes sont occupées par les forces de l'Ordre du renouveau (Venise, Gênes, Milan) et la France. Grégoire Ier de Venise est donc invité à lancer les négociations concernant la capitulation des Etats Pontificaux afin de pacifier au plus vite la région.
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MessageSujet: Prise de Cologne (juillet 1777)   Historique Icon_minitimeJeu 19 Mai - 15:42

Historique Siege_of_Namur_%281692%29

Bélligérants (unités engagées / unités perdues / unités restantes) :
Prussiens : 11.394 (1 Armée) / 2.242 / 9.152
Bavarois : 4.896 (1 brigade) / 3.942 / 954 (prisonniers)
Issue : Victoire prussienne

Frédéric II a lancé une offensive tout azimuts sur les villes bavaroises. Il a commencé par mandater le Feldmarschall Friedrich Wilhelm von Dossow qui avait vaincu les français en 1762 et 1763 pour qu'il s'empare de la ville de Cologne avec sa 1ère ARMEE « VON ARNIM ». Dotés de canons légers de 8 livres mais en grand nombre (90), les Prussiens ont réussi au bout d'efforts harassants à percer les remparts et à pénétrer dans la cité pour affronter une garnison bavaroise deux fois moins nombreuses commandée par le Generalbrigadier Philipp von Imhoff. Vaincu, ce dernier livra la ville aux ennemis.


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MessageSujet: Prise de Dijon (juillet 1777)   Historique Icon_minitimeJeu 19 Mai - 23:09

Historique George_II_at_Dettingen

Bélligérants (unités engagées / unités perdues / unités restantes) :
Bavarois : 7.596 (1 brigade) / 2.892 / 4.704
Français : 2.970 (1 régiment) / 1.643 / 1.327 (prisonniers)
Issue : Victoire bavaroise

En dépit d'une vaillante résistance organisée par le talentueux gouverneur de la citadelle Marc-René de Montalembert et du commandant en chef de la garnison, le Lieutenant-Général Alexis Charles de Magallon, comte de la Morlière, le 15ème régiment « d'Auxerrois » qui défendait la capitale bourguignonne n'a pu en raison d'un manque cruel d'effectifs faire face aux assauts des Bavarois de la 1ère brigade « Bronckhorst-Gronsfeld ». En effet, c'était sans compter une infanterie nombreuse et les talents de leur commandant le Generalleutnant Joseph Piosasque de Non spécialiste de la guerre de siège que les allemands ont pu prendre Dijon en essuyant toutefois des pertes importantes par les tirs de l'artillerie française de défense. Mais mlalgré cela, Piosasque de Non a pu faire capituler la garnison française, la faisant prisonnière avec son commandant, Montalembert et le gouverneur de la ville Jean-Baptiste de Machault d'Arnouville, et ce en ayant peu eu besoin des gendarmes à cheval.
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MessageSujet: Bataille de Meppen (septembre 1777)   Historique Icon_minitimeVen 20 Mai - 14:14

Historique Prussian-foot-guards-ii-l

Bélligérants (unités engagées / unités perdues / unités restantes) :
Prussiens : 2.358 (1 régiment) / 1.419 / 939
Bavarois : 4.896 (1 régiment) / 1.602 / 486
Issue : Indécise

L'offensive prussienne du 4ème régiment « Itzenplitz » a eu un résultat peu positif pour Frédéric II car les Bavarois commandé par le prince-archevêque de Cologne Clément-Auguste de Bavière, 77 ans y ont opposé une forte résistance. La victoire aurait pu être prussienne mais le commandant prussien General Kurt Christoph von Schwerin périt à la fin de la bataille. Malgré la retraite bavaroise du 12ème régiment « Jülicher », les prussiens se retirèrent de Meppen pour se diriger vers Leer dans nord-est.


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MessageSujet: Prise de Mayence (octobre 1777)   Historique Icon_minitimeSam 21 Mai - 10:57

Historique FRbattleBommel

Bélligérants (unités engagées / unités perdues / unités restantes) :
Prussiens : 11.970 (1 Armée) / 6.555 / 5.415
Bavarois : 6.633 (1 brigade) / 6.254 / 379
Issue : Victoire prussienne

C'est à la suite d'un long et difficile siège que les Prussiens de la 2ème ARMEE « VON WARTENSLEBEN » du Generalleutnant Christoph Wilhelm von Kalckstein ont pu prendre la ville de Mayence aux Bavarois. Frédéric II craignait au départ que le prénom de son commandant ne lui porte malheur mais c'était sans compter sur l'expérience de l'armée et la qualité des troupes qui composait l'armée que Kalckstein dirigeait. Les Prussiens quittèrent Colmar en Alsace et commencèrent le siège de Mayence le 5 juillet 1777. Toutefois, le commandant en chef de la garnison bavaroise, le Generalbrigadier Friedrich Bernhard Werner, tint la dragée haute aux assaillants pendant près de trois long mois pendant lesquels il agonisa de sa blessure à la cuisse dont il mourut le 16 septembre. Finalement, la 3ème brigade « von Kleist » qui ne comptait plus que près de 400 hommes après le dernier assaut ennemi se rendit aux Prussiens le 27 octobre.


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MessageSujet: Bataille navale du Golfe d'Ajaccio (novembre 1777)   Historique Icon_minitimeSam 21 Mai - 15:08

Historique Article-1255826-07DC0127000005DC-463_634x328

Bélligérants (unités engagées / unités perdues / unités restantes) :
Français : 19 (4 vaisseaux + 5 frégates + 5 bricks + 5 galères) / 3 / 16
Corses : 12 (1 vaisseau + 2 frégates + 3 bricks + 6 corvettes) / 6 / 6 (4 capturés)
Issue : Victoire française

Le Grand Amiral Louis-Philippe de Rigaud de Vaudreuil a sur ordre de Ferdinand Ier lancé une attaque surprise sur la flotte corse amarrée à Ajaccio. Partie de Marseille, la 1ère Flotte française du « Levant » n'a laissé que peu de chances à la 1ère division corse « Théodore Ier » du Chef d'escadre espagnol Manuel de Guirior y González de Sepúlveda dont les corvettes n'ont eu que bien peu de manoeuvrabilité dans le Golfe d'Ajaccio. Les Français n'enregistrèrent que peu de pertes dont la frégate de 5ème rang l' "Amaranthe" tandis que la flotte corse fut a moitié coulée. Finalement, Sepulveda se rendit et livra quatre de ses navires à l'ennemi (bien qu'endommagés) dont son vaisseau amiral de 4ème rang le "Porto Vecchio". Seules deux corvettes corses sortirent quasi intactes de l'affrontement et purent échapper à la vigilance de cinq navires français restés en retrait pour quitter le Golfe d'Ajaccio en direction des côtés sardes.


Dernière édition par Maître-du-jeu le Lun 30 Mai - 22:06, édité 2 fois
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MessageSujet: Bataille de Münster (novembre 1777)   Historique Icon_minitimeSam 21 Mai - 23:06

Historique Hohenfriedeberg_-_Attack_of_Prussian_Infantry_-_1745

Bélligérants (unités engagées / unités perdues / unités restantes) :
Prussiens : 5.058 (1 brigade) / 1.076 / 3.982
Bavarois : 1.998 (1 régiment) / 1.968 / 30
Issue : Victoire prussienne

Le General prussien Wilhelm Dietrich von Buddenbrock, commandant en chef de la 1ère brigade « Preußen Leib-Regiment » a remporté une victoire écrasante sur les Bavarois qui défendait Münster avec bien moins d'hommes que leurs assaillants. Mal placée, l'artillerie prussienne fut la seule composante des troupes de von Buddenbrock a avoir subi quelques sérieuses pertes. Seuls 15 soldats, 15 cavaliers et le commandant de la garnison bavaroise le Generaloberst Johann Kaspar Basselet von La Rosée échappèrent au massacre et se constituèrent prisonniers. Cette victoire marque une étape importante pour Frédéric II qui contrôle désormais trois cités bavaroises en Rhénanie : Cologne, Mayence et Münster.
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MessageSujet: Bataille de Neuchâtel (février 1778)   Historique Icon_minitimeLun 23 Mai - 16:09

Historique Featured-image2

Bélligérants (unités engagées / unités perdues / unités restantes) :
Prussiens : 3.468 (1 régiment) / 1.950 / 1.518
Suisses : 3.420 (1 régiment) / 2.958 / 462
Issue : Victoire prussienne

Les Suisses ont lancé leur première offensive sur les Prussiens à Neuchâtel, petite principauté helvète sous la souveraineté directe de Frédéric II. C'est avec davantage de bataillons (15 contre 9 opérationnels côté prussien) mais un nombre environ égal en hommes que le 1er régiment suisse du « Canton de Berne » commandé par le generaloberst Moritz Schutz a attaqué le 10ème régiment prussien « Schweitzer ». Constitué de gardes suisses et de mercenaires, ce dernier comptait 3 bataillons inopérants. Pourtant, le Général prussien d'origine écossaise George Keith, 10th Earl Marischal, spécialiste pour commander des troupes irrégulières, triompha des Suisses à force de manoeuvres efficaces et de patience. Il fit subir trois fois plus de pertes qu'il n'en subit dans ses rangs et contraignit Schutz à se retirer vers Lucerne.
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MessageSujet: Bataille de Vichy (février 1778)   Historique Icon_minitimeLun 23 Mai - 22:38

Historique 700px-Battle-of-Fontenoy

Bélligérants (unités engagées / unités perdues / unités restantes) :
Français : 6.147 (1 brigade) / 3.067 / 3.080
Suisses : 6.660 (1 brigade) / 4.791 / 1.869
Issue : Victoire française

La 2ème brigade française « de Picardie » du Maréchal de Saxe a intercepté la 1ère Brigade suisse « de Chandieu » près de Vichy alors que celle-ci se dirigeait vers Clermont pour en faire le siège. Les français affichaient davantage de bataillons que leurs ennemis mais étaient environ de force égale en nombre d'hommes et ce en raison des nombreux canons (216 contre 36 seulement côté suisse). L'utilisation de l'artillerie fut décisive pour que le Maréchal de Saxe remporte la victoire mais il eut bien des difficultés pour les défendre efficacement contre les raids de cavaliers helvètes. Ainsi, tous ses cuirassiers et chevau-légers (soit près de 950 hommes) furent sacrifiés pour une perte en canons de 26 pièces. Les soldats suisses qui déjà étaient aux prises avec les mercenaires écossais et liégeois subissant trop intensément le feu de l'artillerie française, leur commandant en chef le Maréchal de camp Albrecht Friedrich von Erlach sonna donc la retraite avec un peu plus de 1.800 hommes.
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MessageSujet: Seconde bataille de Münster (avril 1778)   Historique Icon_minitimeMar 24 Mai - 18:09

Historique 20120709101321!Battle_of_Zorndorf

Bélligérants (unités engagées / unités perdues / unités restantes) :
Prussiens : 3.630 (1 brigade) / 848 / 2.782
Bavarois : 2.574 (1 régiment) / 1.743 / 831
Issue : Victoire prussienne

Les Bavarois du 13ème régiment « Odenwalder » alors postés à Hameln, avaient reçu en renfort quatre bataillons restants du 12ème régiment « Jülicher » qui avait battu en retraite suite à la bataille de Meppen. Emmenés par le peu expérimenté Generaloberst Karl-Heinrich Woltz, ils firent avec 14 bataillons une tentative desespérée pour reprendre Münster aux Prussiens. Hélas pour eux, le Général Wilhelm Dietrich von Buddenbrock obtint avec sa garnison une victoire confortable pour la Prusse, occupant donc toujours la cité de Münster.
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MessageSujet: Bataille de Bastia (juillet 1778)   Historique Icon_minitimeJeu 26 Mai - 14:42

Historique George-ii-battle-dettingen

Bélligérants (unités engagées / unités perdues / unités restantes) :
Génois : 4.716 (1 brigade) / 1.635 / 3.081
Corses : 2.025 (1 régiment) / 1.560 / 465 (prisonniers)
Issue : Victoire génoise

Malgré la réussite, les Génois de la 1ère brigade « Monaco » débarquée à Calvi ont eu fort à faire à l'entrée de Bastia face aux Corses commandés par le Colonel-général Gennaro Pozzo di Borgo et ses 2.000 hommes. Malgré une supériorité numérique évidente, les soldats génois ont été pris à parti dans le maquis par les fusiliers corses embusqués. Mais les manoeuvres habiles du Général français François de Franquetot, duc de Coigny (au service de Gênes depuis 1749) ont permit aux Génois de prendre l'avantage sur l'ennemi et de le contraindre à se rendre. Pozzo di Borgo se rendit ainsi que les restes de son régiment mais le vice-roi des Corses Maximilien de Bavière-Durlach fut exfiltré en direction de Ajaccio tandis que Bastia fut livrée à l'occupant génois.
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MessageSujet: Bataille de Ratisbonne (septembre 1778)   Historique Icon_minitimeVen 27 Mai - 13:19

Historique C7e9b23045238028c456264d928535da

Bélligérants (unités engagées / unités perdues / unités restantes) :
Dano-saxons : 8.244 (1 brigade) / 1.794 / 6.450
Bavarois : 3.600 (1 régiment) / 2.880 / 720
Issue : Victoire dano-saxonne

Les Dano-saxons, entrés depuis peu en guerre contre la Bavière, sont parvenu à prendre Ratisbonne après une bataille qui a opposé les Saxons de la 1ère ARMEE « VON SACHSEN » commandée par le Général danois Henrik Jørgen Huitfeldt au 7ème régiment bavarois « Augsburger » du Generalleutnant Joseph Franz Maria von Seinsheim. Avec des effectifs bien plus nombreux et plus etoffés que ceux de son ennemi, Huitfeldt est parvenu à remporter la victoire sans grandes difficultés et à entrer dans Ratisbonne.
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MessageSujet: Siège de Lyon (octobre-décembre 1778)   Historique Icon_minitimeDim 29 Mai - 11:36

Historique Si%C3%A8ge_de_Lyon

Bélligérants (unités engagées / unités perdues / unités restantes) :
Français : 11.502 (1 Armée) / 8.211 / 3.291
Bavarois : 8.789 (1 brigade) / 4.984 / 3.805
Issue : Victoire bavaroise

Les 135 canons du Maréchal Ladislas Ignace de Bercheny venu assiéger Lyon avec sa 1ère ARMEE « DU ROI » ne sont finalement pas parvenu à venir à bout de l'abnégation de la garnison bavaroise qui occupe la ville depuis janvier 1777. Le General Ignaz von Törring disposait de moins de troupes que l'assaillant et n'avait reçu contrairement à Dijon aucun renfort. Toutefois il avait obtenu de l'Electrice des crédits pour reformer ses troupes sur place et il misa donc sur un nombre d'infanteries suffisant. Mais le siège ne fut pas pour autant aisé côté bavarois. La garnison fut attaquée principalement au Nord et à l'Ouest où elle put empêcher toute incursion française dans la ville malgré des remparts fragilisés par le premier siège de l'année précédente, tandis qu'un détachement de près de 1.500 mercenaires italiens et allemands sous étendard français parvinrent à passer la porte Sud. C'est à Saint-Irénée que les mercenaires rencontrèrent une résistance de la part de jägers bavarois mais ils entamèrent sérieusement leur moral et leurs effectifs. Des renforts commençaient à se diriger vers le Sud afin d''engouffrer dans la cité le maximum d'assaillants et il fallut le sacrifice d'une grande partie de la cavalerie bavaroise pour empêcher un tel dessein. Devant un nombre trop important de pertes humaines côté français (dut au combat contre les bavarois mais aussi de tirs approximatifs de l'artillerie française) avec un rapport de 8 soldats tués contre 5 pour l'ennemi, le Maréchal de Bercheny leva le siège, préférant économiser la centaine de canons et les 2.000 soldats d'infanterie qui lui restait pour rester à disposition du roi Ferdinand Ier. Il se retira donc vers Saint-Flour au sud-ouest de Clermont. Les Bavarois, dont le but était de conserver la ville remportèrent donc une victoire stratégique mais le bilan du siège fut lourd avec plus de 13.000 morts de part et d'autre. Ce siège, qui aura duré de octobre à décembre 1778 est à ce jour le plus long du conflit.
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MessageSujet: Bataille de Sens (décembre 1778)   Historique Icon_minitimeDim 29 Mai - 16:40

Historique Die-Schlacht-von-Hoechstaedt

Bélligérants (unités engagées / unités perdues / unités restantes) :
Bavarois : 9.936 (1 brigade) / 2.377 / 7.559
Français : 4.287 (1 régiment) / 3.207 / 1.080
Issue : Victoire bavaroise

la 1ère Brigade suisse « de Chandieu » du Maréchal de camp Albrecht Friedrich von Erlach avait relevé la garnison de son alliée bavaroise postée à Dijon. La 1ère brigade « Bronkhorst-Gronsfeld » se dirigea donc en direction de Sens où était posté le 16ème régiment français « d'Anjou » qui devait prendre la route du sud pour des raisons inconnues. Le Generalleutnant bavarois Joseph Piosasque de Non, inquiet de ces manoeuvres suspectes, craignait d'être pris à revers s'il devait assiéger un jour Paris. Il décida donc d'intercepter au plus vite ce régiment français et le neutraliser. Il partit donc à la rencontre du contingent français commandé par le Lieutenant-général Christian-Frédéric-Dagobert de Waldner de Freundstein et l'affronta. Ce fut une bataille qui se déroula sur un terrain déplorablement boueux et opposa un très grand nombre d'infanteries et d'unités d'élite, bien que le rapport de force était inégal, les Bavarois étant deux fois plus nombreux que leurs ennemis. Piosasque de Non fit le curieux choix de mettre en première ligne ses nombreux gendarmes à cheval pour mieux conserver ses infanteries. Les français subirent une logique et lourde défaite avant de se retirer vers l'ouest à Nogent-le-Rotrou. A Sens, les Bavarois ne se trouvaient donc plus qu'à 25 lieues (120 km environ) de Paris.
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MessageSujet: Re: Historique   Historique Icon_minitime

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