Vos réactions

Une proposition de paix oui mais ne perdez pas votre temps en proposant une paix blanche par contre car nous contrôlons deux de vos villes.
Cela dit je n'ai pas envie de faire la maline vous avez su me mettre votre allié dano-saxon sur le dos, c'est de bonne guerre je l'accepte mais cela fragilise ma position.

En attendant de connaître vos intentions cher Ferdinand je vous propose un cessez-le feu immédiat :

- entre la France et la Suisse
- entre la France et la Bavière
- entre la Bavière et le Danemark-Saxe

Dès à présent je m'engage à ne pas tenter de prendre Paris mais la Saxe ne doit pas entreprendre d'assiéger Münich.

L'intuition féminine me surprendra toujours. En effet chère Electrice mais je suis quelqu'un de modéré, aussi sachez ne pas aller trop loin envers mon allié que vous avez agressé et je saurai faire preuve de clémence à votre égard, et dites au prince suisse d'en faire de même sinon je n'aurai aucune vergogne à le dépouiller du peu de villes qu'il lui reste. Je ne suis gentleman qu'avec les dames.

Je vais vous faire confiance Elisabeth-Philippine, j'accepte ce cessez-le-feu.

J'entends par un traité de paix statu-quo, la fin de la guerre qui me lie à la Bavière-corse et la Suisse. C'est à dire qu'un traité de paix est signé et les deux partis refusent toutes concessions financières ou territoriales.

C'est une paix blanche en somme que vous demandez. Le problème pour vous c'est que vous n'êtes pas trop en condition de négocier cela alors que nous occupons deux de vos villes. Ce que je peux vous proposer c'est la restitution de la ville de Lyon mais en revanche je revendique la ville de Dijon ainsi qu'une partie de la Bourgogne (6 alvéoles), la Franche-Comté (3 alvéoles) pour la Suisse.
J'ai entendu les mises en garde de votre allié dano-saxon et nous vous libérons quand même la ville de Lyon, ce n'est pas rien.

Vous êtes aussi sourde d'oreille que moi. Je poursuis les combats, je suis en échec chère madame mais je ne suis pas en échec et mat.

Il s'agit d'une guerre d'usure où chacun récupère des villes stratégiques, comme promis je laisse les nationalistes bretons et catalans agir car s'ils sont mes ennemis ils sont aussi les vôtres, vous êtes ma priorité numéro 1.
Mon allié danois est trop prudent car je sais qu'il peut récupérer encore de vos villes.

La prudence c'est là où nous différons cher Ferdinand. Ne comptez pas non plus que je doive prendre toute la Bavière juste pour obliger l'Electrice à vous rendre vos villes et après me retirer comme si d'un rien n'était, je n'y gagnerai absolument rien, mis à part peut être votre reconnaissance à la rigueur...
Je veux bien venir quand même vous aider de façon désintéressée mais encore faut-il que vous ne compliquiez pas les choses je vous prie.

Le guerre de la terre brûlée que je mène ainsi que l'aide militaire désintéressée que je sollicite à mon allié saxon n'est pas gage de victoire garantie.
Je constate que des souverains souhaitent en découdre contre l'Espagne et que je bloque les offensives car l'alliance des princes de sang mêlé n'existe peut-être plus une fois la paix signée.

Chère électrice de Bavière,

J'accepte de signer le traité de paix que vous proposez, Je donne la moutarde à la Bavière et des parcelles à la Suisse. Les bavarois sont d'excellents combattants je ne peux pas le nier. J'espérais vous prendre en otage dans mon dernier effort finalement j'y renonce.
J'ordonne à mes troupes de cesser les combats.

Je vous conseille fortement cher Ferdinand de bien réfléchir à ce traité pas si désavantageux au lieu de rejeter tout en bloc comme vous le faites. Le problème est que la guerre prolonge le maintien de la Bavière et de la Suisse dans la Ligue des PDSM pour des raisons logistiques dans cette guerre alors que justement Elisabeth-Philippine et moi même avions convenu lors de la paix de Besstagenbertkeshschtadt qu'elle devait rompre son alliance avec l'Espagne.

Bref, nous perdons tous notre temps en négociations alors que la campagne d'Espagne est notre priorité, il faut pour cela que les meilleures conditions soient réunies (Espagne isolée, France la moins troublée possible, diplomatie claire du roi Ferdinand Ier, etc.)

C'est pour cela que je vous met en garde en mon nom et au nom de l'Empire Habsbourg (avec autorisation de S.M. Joseph II) que si vous désirez poursuivre cette guerre, l'Autriche et la Prusse devront entrer en guerre contre la France.

J'accepte de signer la paix avec les conditions de la Bavière plutôt que de finir en confettis.

Je suis enclin à signer un cessez-le-feu voire une paix avec la France mais nous discuterons des modalités car je ne suis pas tout à fait d'accord avec mon alliée bavaroise.

Je félicite mes braves soldats pour cette victoire éclatante!!

Vous avez été bien audacieux de vous en prendre en étant en telle infériorité numérique, surtout lors d'un siège avec un gouverneur de la citadelle de haut niveau, vous avez contrôlé cela d'une main de maître. Je ne suis pas peu fier non plus de constater qu'un prussien a contribué à cette belle victoire.

Félicitations, on peut enseigner le déroulement de cette bataille dans les académies militaires comme étant un parfait modèle de l'art militaire lors de la guerre de siège.

Merci pour vos compliments. Je ne suis pas méritant, seul mes hommes ont accomplie cette victoire.
Je tiens à féliciter le doge de Gênes pour son contrôle total de l'île de beauté. Cher Grégoire, il est temps de faire sauter le verrou de Gibraltar!

C'est une aubaine dans cette guerre que l'Espagne n'aie pas d'allié, car je pense qu'il aurait été impossible sinon de la vaincre en métropole.
Il faut compter à son actif 2 armées autrichiennes accompagnées de 2 armées et une brigade prussienne pour faire du poids, je ne préfère pas imaginer les dépenses militaires.

En effet le risque était surtout de vous voir basculer dans la Ligue des PDSM, vous êtes si versatile! Mais heureusement vous avez au moins consenti à ce que l'on traverse votre pays, nous vous remercions donc.
L'heure est maintenant à la paix. Le bilan est plutôt positif contre l'Espagne, ultime rempart de cette Ligue puisque sept villes sont actuellement occupées : 2 dans le camp de la CGT (Bilbao, Barcelone) et 4 dans celui de l'ODR (Parme, Palma de Majorque, Salamanque, Valence)
Nous remercions d'ailleurs Joseph II et moi les différentes puissances de l'Ordre du Renouveau de nous avoir épaulé durant ce conflit.
Nous allons tous devoir restituer deux villes à l'Espagne. Une ville occupée par chaque camp aurait été un compromis satisfaisant mais nous n'avons aucune prétention à annexer des villes espagnoles, nous désirons simplement rendre indépendant le pays basque espagnol ainsi que le duché de Catalogne. Il serait donc nécessaire à ce que les villes restituées à Charles IV soient des villes occupées par l'ODR. Un geste dans ce sens serait le bienvenu et en retour nous nous engageons à faire entrer le pays basque dans cette alliance, le duché de Catalogne devant intégrer la CGT.

Qu'en pense les intéressés?

Je ne suis pas intéressé pour conserver Valence me concernant mais j'ai préféré en parler à Grégoire car nos duchés fusionneront un jour et mieux valait avoir son avis d'allié et de père. Nous sommes du même avis que conserver Valence deviendrait difficile en cas de reprise un jour de la guerre contre l'Espagne. Certes la ville est prospère mais stratégiquement l'annexion de Palma est bien plus avantageuse que ce soit pour Venise que pour Milan qui en héritera.

Nous sommes donc prêt à restituer Valence mais nous insistons pour conserver Palma de Majorque. Nous ne demandons par contre aucun dédommagement financier. Il reste donc une ville à restituer à l'Espagne et cela voudrait dire que soit Parme soit Salamanque serait rendu. Je laisse les époux Victor-Amédée III de Piémont-Sardaigne et Marie Ière de Bragance s'exprimer à ce sujet mais il serait judicieux que celui qui renonce à sa ville puisse quand même avoir des gains territoriaux et (ou) une compensation pécunière.

Votre proposition n'est pas mauvaise cher roi de Prusse mais indirectement, même avec la volonté de mes alliés milano-vénitiens de restituer la plus grande cité qu'ils contrôlent, elle me renvoie dos à dos avec mon cher mari sur celui ou celle qui va devoir restituer la seconde ville à l'Espagne : soit le Portugal restitue Salamanque, soit le Piémont-Sardaigne restitue Parme.
Or nous avons mon époux et moi subi pendant des années des menaces, des pressions, des intimidations et du chantage de l'ignoble Charles IV. Je pense donc que proportionnellement au mal fait par le roi d'Espagne, l'annexion de ces deux cités représente toute simplement notre dû, la monnaie de sa pièce.

Je peux comprendre que vous vouliez Frédéric rendre la liberté aux Basques et aux Catalans mais concernant le pays basque je crains malheureusement que cela ne contamine la partie française avec Bayonne, Ferdinand Ier ayant déjà eu bien du mal avec les régionalismes dans son pays entre les Occitans et les Bretons. Il ne manquerait ainsi plus que les basques!
J'ai des intérêts à protéger dans le pays basque français, économiques certes mais aussi diplomatiques car je désire garder de bonnes relations avec mon ami Ferdinand Ier.

Je vous fait donc une contre-proposition : Nous rendons Valence mais de votre côté (la C.G.T.) vous restituez Bilbao. Et par ce geste étant donné que vous avez été spolié financièrement avec le krach vous pouvez demander un dédommagement financier à Charles IV.

Je comprends votre inquiétude et elle est légitime. Pour tout vous dire je n'avais pas songé à ce problème donc ne voyez aucune fourberie de ma part quand j'avais fait cette proposition.
Je suis d'accord avec votre contre-proposition mais je vais en parler de mon côté aujourd'hui même à Joseph II de Habsbourg. Je vais également établir un devis de frais de réparation concernant l'Autriche et la Prusse, nous ne serons pas trop gourmand étant donné qu'il s'agit d'une paix imposée et non une capitulation mais que Charles IV ne se leurre pas, il devra quand même payer une forte somme.

Venise et le Piémont-Sardaigne sont-ils d'accord avec la proposition de Marie de Portugal?

Je remercie chaleureusement ma belle soeur Marie de Bragance d'épargner à la France d'autres possibles tourments. Mes nouveaux ministres sont en train de rédiger un rapport sur les recettes commerciales du royaume car en effet il ne faut pas négliger l'aspect marchand.

J'ai une autre proposition à vous faire chère Marie Ière.

Je vous propose de renoncer à salamanque en échange vous toucherez le dédommagement pécunier de la Prusse et moi même ?

Cela peut être intéressant étant donné que Salamanque rapporte peu d'impôts mais pour que je puisse y réfléchir il me faudrait une estimation, pourriez vous demander à vos ministres des finances le montant de vos préjudices subis je vous prie?

Je me range sur l'avis de mon épouse Marie Ière de Portugal. A croire qu'elle lit dans mes pensées.

Je suis d'accord pour verser un subside qui je pense s'avérera très satisfaisant pour la reine Marie.

nous vous proposons 10.360 LT, qu'en pensez vous?